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terreurs nocturnes et cauchemars d’un bébé
Publié le 20 mai 2020, par Simon

Terreurs nocturnes et cauchemars d’un bébé : comment les reconnaître ?

Les rêves et les cauchemars sont des effets de notre sommeil très récurrents et que nous connaissons bien. Pour un bébé, les cauchemars sont souvent confondus avec des terreurs nocturnes. On vous explique comment différencier terreurs nocturnes et cauchemars d’un bébé.

D’où viennent les cauchemars d’un bébé ?

Un enfant commence généralement à faire des cauchemars à ses 1 an, avant qu’ils ne deviennent plus récurrents entre ses 3 et 5 ans. Ils mettent en général en scène les différentes peurs qu’il a eu lors de sa journée. Cela peut être le monstre dans le livre que vous lui avez lu ou la sorcière dans un dessin animé. Si votre enfant est gardé en journée n’hésitez pas à demander à l’auxiliaire de crèche les éventuelles histoires qui ont pu lui faire peur. Pour que vous puissiez plus facilement les appréhender et les comprendre, on vous conseille d’en parler avec votre enfant dès le lendemain. Il est important de ne pas laisser s’installer la peur que traduit le cauchemar.

Expliquez-lui, s’il a peur des monstres, qu’ils n’existent pas dans la réalité et faîtes le tour de la chambre et des cachettes probables pour le rassurer.

Qu’est-ce qu’une terreur nocturne ?

Contrairement aux cauchemars, l’enfant n’a aucun souvenir de ses terreurs nocturnes. Ces troubles du sommeil se rapprochent du somnambulisme. Si l’enfant a l’air conscient et réveillé, assis dans son lit, en nage, apeuré et avec les yeux bien ouvert, il est en réalité dans un sommeil profond. Ces troubles du sommeil touchent environ 3% des enfants. Plusieurs facteurs peuvent expliquer ces troubles comme la fatigue, un changement du quotidien, une absence de sieste. Mais la période où l’enfant est le plus sujet d’en avoir c’est en période de fièvre.

Lors de ces nuits, l’enfant rêve de ses angoisses et de ses peurs les plus enfouis. Comme l’enfant n’a aucun souvenir à son réveil, lui en parler n’est pas nécessaire. Néanmoins, nous vous conseillons, si ces troubles deviennent fréquents d’en parler avec un professionnel de la petite enfance ou un médecin.

Terreur nocturne et cauchemars d’un bébé

Ces troubles du sommeil sont surprenants à voir pour des parents. Mais sachez que les terreurs nocturnes et les cauchemars d’un bébé sont une phase obligatoire et nécessaire pour son développement. Pour le rassurer, ne minimisez pas ses peurs mais ne les dramatisez pas trop non plus. Il faut trouver le juste milieu en lui montrant que vous comprenez qu’il puisse avoir peur mais qu’il n’y a aucune raison de s’inquiéter.

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