Le rôle de prévention du vendeur en animalerie
L’adoption d’un animal de compagnie attire de nombreuses personnes. Pour les individus en situation de handicap, il s’agit même d’un véritable allié (comme avec les chiens guides). Que peut conseiller le vendeur en animalerie ?
Pour adopter, des annonces sont souvent disponibles auprès des professionnels. Il faut faire un tour du côté de l’auxiliaire vétérinaire situé près de chez soi. Les chenils et les refuges de la SPA (Société Protectrice des Animaux) proposent également des chiens ou encore des chats abandonnés qui ont besoin d’une seconde vie.
Pour acheter un animal, il vaut mieux s’adresser à un éleveur ou se rendre dans une animalerie.
Quel est le travail du vendeur spécialisé ?
Un vendeur en animalerie doit avoir une passion pour les bêtes et connaître les spécificités de tous ceux commercialisés. Son premier rôle en tant que vendeur est de conseiller un client sur le choix d’un animal de compagnie adapté à sa personnalité et éventuellement à son mode de vie. Un chat de taille moyenne convient par exemple à une personne qui vit dans un petit appartement, et un gros chien au propriétaire d’une maison de retraite.
Il est très important qu’un dialogue soit réalisé entre le vendeur et le client. En effet l’acquisition d’un animal de compagnie peut rendre très enthousiaste et amener par la suite de mauvaises surprises : allergies, présence de jeunes enfants, voisinage, plantes incompatibles avec la santé de l’animal dans le logement…
Le responsable de la vente est aussi chargé de fournir au client toutes les informations relatives à l’entretien et la nutrition de la bête choisie. Par extension, un vendeur en animalerie doit savoir proposer divers produits et accessoires : cage, laisse, litière, niche, aquarium, croquette, etc.
Un vendeur en animalerie doit informer et conseiller
Doté d’un bon bagage commercial, le vendeur spécialisé doit être polyvalent. A ce titre, il répond aux besoins spécifiques de la clientèle… et de chaque animal dont il a la responsabilité. Il faut donc avoir des connaissances minimales sur la morphologie, les besoins nutritionnels et les différents comportements des animaux. Toutes ces caractéristiques diffèrent d’une espèce ou d’une race à une autre.